';

NUMÉRO 28

LYCANTHROPIE
En plus d’une brève histoire de la lycanthropie dans la littérature au Québec nous vous proposons dans ce numéro une uchronie chez les diamantaires du village de Précieux–Sang. Samuel Archibald, lui, nous parle de Prosper Mérimée, Luka Rocco Magnotta et Gilles de Rais. On vous propose de découvrir Steph Rivard ex enfant de cœur devenu écrivain prodigue avec une fiction digne d’un serial killer et Pierre-Olivier Garand jeune écrivain québécois en exil au Malawi.

Nous avons également déniché pour vous une série de photographies victoriennes qui montrent une technique pour photographier les enfants agités. Elle consiste à « dissimuler » la mère de ces petits monstres sous un tapis persan, un lourd rideau de velours ou une chaise à feuille d’or afin de « l’exclure » du cadre tout en bénéficiant de sa présence tranquillisante. Quelques exemples de ferrotypes (impression sur tôle), daguerréotypes (impression sur argent poli) pris par camerae obscurae vous sont présentés dans ce numéro. La légende dit que les lycanthropes ne se reconnaissent pas quand ils se voient en photo. Ils disent ne pas être photogéniques.